Une berge, deux voies !

"Nous disons aux parisiens: il faut libérer les berges de leur ville", déclare la Mairie (laquelle claironnait déjà "Les berges sont à vous" il y a trois ans). "La pollution l'a trop souvent pénétrée. Dès fin des vacances on ne peut plus profiter d'une escalope avec une salade !".

Certains encartés amateurs de Tulle ont déclaré: "On touchait le fond avec ces caisses qui puent ! ". Sans doute un peu fêlés après une telle libération, les amateurs de vélo Ferrari profitent du lot de la victoire. De son côté le Figaro titrait "La solution et la peine" tandis que Libé annonçait les retombées touristiques: "La Seine, Les Russes", en prédisant même "Une quête pour les feux rouges". Seul un élu d'opposition dénonçait: "L'écolo Ferrari, c'est bien trop long !". Ce à quoi la maire a répondu: "il aura tout le temps de se vider les fouilles pendant la quête. Les quais de Paris, ce n'est pas réservé aux gueux !".