Le journal de papageno - Mot-clé - Georg Friedrich Haas - CommentairesLe Journal de Papageno est un blog francophone consacré à la musique classique et contemporaine.2023-08-18T08:55:10+02:00Patrick Loiseleururn:md5:e3d6f6e2ebef7c45d0c5e125b87d9f0aDotclearMelancholia (Haas) à l'Opéra de Paris: mes impressions - Papagenourn:md5:c0990b19a737303afe93757d1fdf4a702009-03-09T23:03:32+01:002009-03-09T23:03:32+01:00Papageno<p>cher Mercator, vous avez parfaitement le droit de ne pas aimer Melancholia, et même de l'écrire dans mon blog ;-)</p>
<p>On n'a pas besoin d'être expert d'ailleurs pour apprécier la musique car chacun de nous a des oreilles, ce sont des instruments très précis et très bien éduqués qui nous servent 24 heures sur 24 et sont parfaitement suffisants pour dire "j'aime" ou "j"aime pas". Cela dit il faut accepter la subjectivité totale de ce jugement (ça n'est pas parce que vous n'aimez pas que d'autres n'aimeront pas), et son caractère temporaire (si ça se trouve vous changerez d'avis dans quelque temps sur cette musique).</p>Melancholia (Haas) à l'Opéra de Paris: mes impressions - MERCATORurn:md5:7af9201fc990594ae71c5be7213e1c852009-03-09T15:03:57+01:002009-03-09T15:03:57+01:00MERCATOR<p>Loin de moi, la moindre volonté de persiflage : l’âne est un animal des plus doux, et j’ai connu bien des étudiants archi diplômés qui ne me paraissaient pas toujours avoir manifestement compris des notions simples … Or moi-même, en matière d’Opéra, je le concède, je ne me reconnais pas qualité pour m’autoproclamer expert.<br />
Il resterait, toutefois, à étudier de façon très fine pour en apprécier toute la substantifique moelle, près des singularités, les fonctions holomorphes de propagation des ondes, selon la Théorie de la deuxième microlocalisation sur les sous-variétés isotropes, en intégrant, bien entendu, un effet d’inversion, fonction de la température de la salle. Et là, peut-être, n’étais-je pas idéalement installé à mon goût, un peu trop en hauteur, côté droit, avec un léger souffle à gauche. Cela relève pour l’essentiel de l’Analyse Complexe. C’est quand même assez simple, mais pourrait, peut-être, se révéler être une aide précieuse pour un bien modeste mélomane.<br />
Mais pourquoi n’ai-je pas eu envie de chercher à comprendre davantage ? pourquoi n’ai-je pas aimé MELANCHOLIA ?<br />
Une oreille est un organe si complexe et si simple à la fois… Quand les ondes produites par toutes les vibrations mécaniques viennent actionner le marteau, que ce marteau martèle trop durement l’enclume, que les oreilles transmettent un signal de douleur au cerveau, cela me suffit amplement et j’avoue simplement ne pas aimer les sons qui génèrent ce malaise. En l’occurrence, comprendre ou ne pas comprendre, aimer ou ne pas aimer, relève du domaine de la psycho-acoustique.<br />
Ce qui est porté aux nues par certains qui se proclament connaisseurs est le beau, peut-être …, que m’importe, je n’ai pas du tout apprécié MELANCHOLIA.</p>Melancholia (Haas) à l'Opéra de Paris: mes impressions - DavidLeMarrecurn:md5:e5cb445f48eed1c63c9e168d5bdfca302009-03-08T12:49:54+01:002009-03-08T12:49:54+01:00DavidLeMarrec<p>Forcément que c'est abscons, puisque cet estimé visiteur n'a manifestement rien compris ni à l'oeuvre ni à son commentaire. :-)</p>
<p>Cela dit, c'est divertissant, le couplet décadentiste.</p>Melancholia (Haas) à l'Opéra de Paris: mes impressions - Papagenourn:md5:8d2e94492085f4dbbfd598c8e9d2c3bc2009-03-03T23:06:05+01:002009-03-03T23:06:05+01:00Papageno<p>Verbiage, je veux bien, mais abscons ?</p>Melancholia (Haas) à l'Opéra de Paris: mes impressions - MERCATORurn:md5:48e89e04fe9df2b35e103a5e52c42a2e2009-03-03T22:37:51+01:002009-03-03T22:37:51+01:00MERCATOR<p>Quel bel exemple de verbiage abscon cet article de papageno !<br />
Vous voulez vraiment savoir pourquoi ce type d'opera meurt ? Que d'ânes, que d'ânes écrivez-vous, n'est-ce pas ? les autres ? alors bienheureux les simples d'esprit, le royaume ... Brisons là, voulez-vous ?<br />
Pour qui aime LARSEN, MELANCHOLIA est certes un bon moment de jouissance pour les oreilles, sur fond "musical" de bruits lancinants, prélude à une douce nuit d'acouphènes. Et le livret, quel chef d'oeuvre ... de mièvrerie ! sans parler du décor, où l'art flotte dans le néant ... Bref, cet opera est un superbe exemple de l'art Moderne qui annonce la fin de la civilisation occidentale décadente. Mais cela n'est pas si grave sans doute, toutes les civilisations ont eu, ont et auront une fin, ainsi va le monde et l'Art renaît toujours du génie de l'homme<br />
En résumé, opéra à éviter comme la peste au Moyen Age</p>Melancholia (Haas) à l'Opéra de Paris: mes impressions - Morlochurn:md5:595d8ec18e9cabbdc141b85aaef15ed72008-07-13T09:33:09+00:002008-07-13T09:33:09+00:00Morloch<p>D'accord avec tout l'article, la musique est d'une grande beauté et m'a paru assez ouverte à différents styles contemporains : musique spectrale, et même un peu de répétitivisme à un moment. Comtemplatif et vivant, j'ai adoré. <br />
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En revanche, quel choix de livret, une sorte de mêtre-étalon de l'ennui.</p>Melancholia (Haas) à l'Opéra de Paris: mes impressions - Papagenourn:md5:57b4381dff7f34f0f55ad074874fadc02008-06-20T09:47:20+00:002008-06-20T09:47:20+00:00Papageno<p>Merci pour la précision, chère Papagena (Papagena ??!). J'ai corrigé mon article.</p>Melancholia (Haas) à l'Opéra de Paris: mes impressions - Papagenaurn:md5:1eb96a81ba397d88cb6bbf008e800ee42008-06-18T12:01:05+00:002008-06-18T12:01:05+00:00Papagena<p>A noter que ce n'étaient pas les musiciens de l'Opéra qui jouaient dans Melancholia mais le Klangforum Wien.</p>