Le journal de papageno - Mot-clé - voix - CommentairesLe Journal de Papageno est un blog francophone consacré à la musique classique et contemporaine.2023-08-18T08:55:10+02:00Patrick Loiseleururn:md5:e3d6f6e2ebef7c45d0c5e125b87d9f0aDotclearMélodies inédites d'Armande de Polignac - DavidLeMarrecurn:md5:edbbd451811d617d70c55b24f6ffa84e2013-06-29T20:57:04+02:002013-06-29T19:57:04+02:00DavidLeMarrec<p>Ce n'est pas faute de surveiller ces choses-là, mais je n'ai pas vu que ce concert était programmé... quel dommage de ne pas l'avoir annoncé haut et fort ici, on comptait sur vous pour cet office !</p>
<p>Personnellement, je trouve les mélodies de Polignac que j'ai pu entendre (donc pas beaucoup) plus convaincantes que celles de Chausson, qui n'était pas à son meilleur dans le rapport avec le texte poétique. En revanche dès qu'il y a du drame, de la tension, la difficulté disparaît.<br />
Je suis d'accord, superbe corpus.</p>Création de la Victoire de Guernica à Cergy-Pontoise - Azbinebrozerurn:md5:860caf00d95e6babfe5bbfaba384cfd42013-04-21T18:39:25+02:002013-04-21T17:39:25+02:00Azbinebrozer<p>Très belle soirée donc hier.<br />
J'ai trouvé le niveau proposé par les différents compositeurs, de très grande qualité. Merci aussi encore pour ce moment d'échanges partagé ensuite.<br />
La présentation faite par chacun de son œuvre donnait un peu de sens et de chaleur au concert. Le jury en tient-il compte ? Il me semble que l’œuvre, pardonnez-moi Patrick, doit tout de même aussi échapper à son créateur et à ses intentions ?<br />
L'exposition préalable du poème par les deux acteurs participaient aussi à cette belle ambiance. Est-ce qu'elle pouvait gêner l'écoute de l’œuvre ensuite ?<br />
Comment jugez des œuvres ? Pour le jury armé de sa science et de la partition, il peut revenir sur l’œuvre. Pour le public, une seule écoute, quand certaines œuvres ne se donnent pas d'emblée ! Pour ma part la version de « Le plus jeune » de Abou Diab Wajd m'a intrigué, séduit parfois. « La petite boule de neige » de Gabriel Ledoux demanderait aussi au moins une écoute de plus... Les trois autres œuvres, dont la vôtre, m'ont paru offrir des entrées plus immédiates à l'auditeur. Le « Confracta » de Luisa Antoni était sensuel. La version de « Le plus jeune » de Bruno Fioranelli, proposait une inquiétude finalement dans une certaine beauté formelle.<br />
Votre « Victoire de Guernica » était de très loin l’œuvre la plus immédiatement émouvante ! Comment s'est opéré le choix de l'ordre de passage ? il me semble que l'alternance des styles renforçait ce climat. De quelle oreille, ou point de vue, le jury verra-t-il ce « mixage » ? Il était intéressant de relever le choix encore ici du surréalisme pour un concours de composition, au 21e siècle... et d'écouter comment chaque compositeur l'assumerait... Votre poème, votre choix, était probablement celui qui sollicitait le plus le peuple.<br />
J'espère que ce choix vous aura porté chance !</p>Création de la Victoire de Guernica à Cergy-Pontoise - Azbinebrozerurn:md5:05b824e2553fc89196327f9fb45d0ca12013-04-20T16:00:54+02:002013-04-20T15:00:54+02:00Azbinebrozer<p>Au plaisir d'écouter votre musique tout à l'heure, et de vous saluer peut-être.<br />
(18 h le samedi)</p>Les Nuits d'été pour voix et trio avec piano - Papagenourn:md5:283d49d83c22cd9a77f632cfc2742d5e2011-01-14T11:33:24+01:002011-01-14T11:33:24+01:00Papageno<p>Avec orchestre ça n'est pas si mal non plus :D</p>Les Nuits d'été pour voix et trio avec piano - Jean-Brieuxurn:md5:f90eed2c55a843fa65a6a3d0b95d2aba2011-01-11T22:18:57+01:002011-01-11T22:18:57+01:00Jean-Brieux<p>Moi aussi j'aime bien le Spectre de la rose, avec accompagnement de piano naturellement ;-)</p>Les nouveaux castrats - DavidLeMarrecurn:md5:6405b7b48cbc12aaec451af1cd2004a22008-10-15T10:21:16+02:002008-10-15T09:21:16+02:00DavidLeMarrec<p>Il est vrai que les voix de femme semblent (et sont) plus libres, plus ductiles, plus sonores.</p>
<p>Les contre-ténors, sinon, ne sont absolument pas comparables aux castrats d'antan, qui étaient précisément beaucoup plus ductiles et puissants.</p>
<p>C'est simplement qu'il utilisent l'émission en voix de tête au lieu du mécanisme lourd de la voix.</p>
<p>Donc les vraies voix de castrat, il n'en existe plus.</p>
<p>Pardon pour la promo éhontée, mais plutôt qu'un long développement :<br />
<a href="http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2006/06/20/283" title="http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2006/06/20/283" rel="ugc nofollow">http://operacritiques.free.fr/css/i...</a> .</p>
<p>Pour ma part, toutes les voix peuvent me transporter d'égale force, ça dépend véritablement de la manière.</p>La musique, le son et la voix - axel Randersurn:md5:bf6be3c7b9e993b34f360b63acf468102008-09-08T14:06:40+02:002008-09-08T13:06:40+02:00axel Randers<p>Merci pour ce post extrêmement intéressant.</p>
<p>Les sonneries de portable quand on joue, cela choque justement à cause de notre vision académique de la musique, cela aurait moins choqué en d'autres temps. Même la messe était bruyante, avec des allées et venues, des disputes, etc. Alors qu'aujourd'hui on se sent mal de tousser.<br />
Les lieux vivants et en phase avec le monde populaire sont bruyants et énervants (les messes au XVIIIème siècle, les messes footballistiques aujourd'hui). Alors que les lieux muséifiés sont policés, sages, guindés.<br />
J'aime les deux types d'atmosphère.</p>La musique, le son et la voix - Jean-Brieuxurn:md5:8d44b64e6c61f8f5b6c28c39feb03f192008-09-06T03:20:09+00:002008-09-06T03:20:09+00:00Jean-Brieux<p>"De ce point de vue les concert de rock, où l'on chante, on crie, on danse, sont certainement plus proches de cette tradition multi-millénaire que les concerts ou l'on reste poliment dans son fauteuil, sans parler, sans bouger et sans tousser, jusqu'aux momment des applaudissements."<br />
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J'ai le droit aux sonneries de portable quand je joue (eh oui quand on passe en premier pour jouer, on subit les ajustements structurels). Bref, je suis peut-être à mon corps défendant l'un des gardiens de cette tradition multiséculaire et vivante. :-D<br />
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"Et la tentation régressive qu'on retrouve chez les compositeurs néo-classiques, néo-romantiques n'est que l'autre face de la pièce..."<br />
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Quoi que l'on fasse, on regresserait donc. Le ver serait-il dans le fruit ?</p>