Dégât des eaux

Toute une pile de mes disques préférés ont été victimes d'un terrible accident domestique et trempés jusqu'à l'os. Il a fallu les ouvrir un par un pour faire séchér les jaquettes avec des pinces à linge... pour désagréable et comique qu'il soit, cet incident prouve néanmoins la supériorité du disque sur la musique dématérialisée, car il est probable qu'un disque dur d'ordinateur aspergé par la même quantité d'eau serait totalement mort. Hilary, Karol, Ludwig, Hélène, Brice et les autres, pardon pou la douche forcée !

Commentaires

1. Le mercredi 3 juin 2009, 13:21 par DavidLeMarrec

Le problème est plus la nature et la résistance du support que la dématérialisation, en réalité.

Car la dématérialisation, à part pour la consultation des sites de flux, n'existe pas vraiment - sauf pour les livrets des intégrales d'opéra, malheureusement...

Bon courage !

2. Le mercredi 3 juin 2009, 17:03 par Azbinebrozer

Je ne voudrais pas faire ma tête d'emule mais il faudrait au moins noyer tous les CD sans livret et textes.
Cet hiver un El Nino de John Adams aux merveilleux poèmes absents. En pop/rock hier un somptueux Bill Callahan "Sometimes we were an eagles " aux songwriting réputé définitivement inaccessible pour mon niveau d'anglais oral...
On pourrait faire ça dans les piscines des magnats des majors naan ? Quoi ? Ne me dîtes pas que ces criminels n'ont plus de quoi les remplir !!

3. Le mercredi 3 juin 2009, 17:19 par Azbinebrozer

..."Sometimes I WISH we were an eagles" Ok ok il y a quand le même le titre marqué sur la pochette ! ;- )

4. Le jeudi 4 juin 2009, 14:38 par Jean-Brieux

@Papageno

Je vous conseille de passer l'aspirateur (ou la pompe aspirante) en écoutant des sonates de Schubert bégayées par Kempff sur votre aille-pode... :-) :-)

Blague à part, j'espère que vous n'avez rien perdu dans ce dégât des eaux.