Concert David Leszczynski (piano) à l'Institut Culturel Hongrois le 4 avril 2008

Voici une annonce de David Leszczynski, un pianiste tout à fait excellent que j'ai eu le grand plaisir d'accompagner (au sein de l'orchestre Ut Cinquième) il y a quelque temps dans le deuxième concerto de Liszt (et qui nous a donné en bis une pièce de Thierry Escaich qui nous a bluffé):


J'ai le plaisir de vous annoncer un concert que je donnerai le 4 avril à 20h, à l'Institut Culturel Hongrois, 92 rue Bonaparte 75006 Paris.

Le programme sera le suivant:

* Schubert; Sonate en La majeur D664

* Chopin: 3 Mazurkas op. 50, Scherzo op. 54

entracte

* Bartok; Suite de Danses

* Debussy: 2 Préludes

* Liszt: "Après une lecture de Dante"

Le prix des places est de 17 euros (tarif réduit 13 euros). La réservation est fortement conseillée (au 01 46 31 80 89, laisser un message avec votre nom et le nombre de places souhaitées).

Je serais très honoré de votre présence à ce concert.

Cordialement, David Leszczynski


Commentaires

1. Le mardi 1 avril 2008, 22:48 par Jean-Brieux

Le programme est alléchant. Dommage que je ne puisse pas assister à ce concert. Je ne peux que saluer le choix de la sonate en la majeur D664 (ce qui nous changera de la sublime D959) - sonate dont j'avais d'ailleurs donné un aperçu en jouant l'Andante l'année dernière aux Trouvères (c'était en mai 2007 je crois).

Qui a écrit le canon de Pachelbel ? Trop fort l'anti-spam.

2. Le vendredi 4 avril 2008, 10:24 par Eric

Je crois que je vais essayer d'y aller. J'espère que je ne m'y prends pas trop tard. Je viens d'écouter quelques extraits sur son site qui sont très séduisants.
www.davidleszczynski.com/
J'aime beaucoup notamment son extrait de "Jeux de doubles" de Thierry Escaich.
Alors, il me vient une question. J'éprouve quelques difficultés à écouter certaines pièces de Ravel (Ce même Ravel dont le Boléro est le morceau le plus écouté à travers le monde. On parlait récemment dans ce journal du paradoxe de Kolmogorov. Y aurait-il un paradoxe de Ravel ? :-) ) ou de Brahms et j'apprécie ce morceau d'Escaich.
Afin de casser une idée (fausse ?) qui est peut-être répandue, je pose donc la question suivante : La musique suit-elle une évolution chronologique et graduelle dans la difficulté de compréhension et d'appréciation, du genre : Vivaldi, fastoche, Mozart, ça va encore. Hum, Wagner, plus dur, Boulez, tout le monde descend... ?

3. Le vendredi 4 avril 2008, 21:50 par Eric

J’ai voulu me rendre au concert en utilisant le GPS de mon téléphone portable dernier cri. Je suis arrivé avec une demi-heure de retard.
Alors, je suis rentré chez moi. J’ai posé mon costume sur le dossier d’une chaise. J’ai dénoué ma cravate et retiré mes chaussures vernies encore neuves qui me comprimaient les pieds. Puis, j’ai enfilé mon pull, mon préféré, celui qui bouloche et qui est tout déchiré aux coudes. J’ai allumé un feu dans ma cheminée après y avoir déposé deux grosses bûches. En m’essayant dans mon grand fauteuil en cuir, mon chien est venu s’allonger près de moi et je me suis écouté un bon vieux jazz. What a wonderful wooooorld.

Désolé pour l’artiste, ce sera pour une prochaine fois.

4. Le samedi 5 avril 2008, 10:24 par Jean-Brieux

@Eric

Je suis mort de rire.