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dimanche 5 juillet 2015

Comment écrire une symphonie avec trois notes (remarques sur la Cinquième de Vaughan Williams)

La scène se passe à Londres en novembre 1937. Tandis qu'un brouillard épais et glacé recouvre la ville, dans l'ambiane feutrée et capitonnée du St Regent Composer's Club, le digne Sir Vaughan-Williams finissait un excellent whisky écossais en compagnie de son vieil ami David S, musicologue. Partie des sujets d'actualité, la conversation arriva sur la musique dodécaphonique:

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dimanche 5 août 2007

La quatrième symphonie de Jean Sibelius (quatrième partie)

Voici le dernier billet sur la quatrième symphonie de Jean Sibelius. J'ai déjà parlé des premier, deuxième et troisième mouvements de cette oeuvre atypique et attachante.

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dimanche 17 juin 2007

La quatrième symphonie de Jean Sibelius (troisième partie)

Nous avons déjà parlé dans ce journal du premier mouvement et du deuxième mouvement de cette énigmatique symphonie, la plus torturée mais aussi la plus attachante du célèbre compositeur finlandais.

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dimanche 27 mai 2007

La quatrième symphonie de Jean Sibelius (deuxième partie)

Continuons notre exploration de cette partition majeure avec le second mouvement, à 3/4 indiqué "Allegro molto vivace". Il débute par un solo de hautbois, accompagné des seuls altos, utilisant une technique de "tuilage" très fréquente chez Sibelius:

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jeudi 24 mai 2007

La quatrième symphonie de Jean Sibelius (première partie)

Si l'on n'est pas familier avec l'univers de Sibelius, il vaut mieux commencer avec la 2è ou la 5è symphonie, ou encore les poèmes symphoniques, plutôt qu'avec la 4è symphonie. C'est pourtant l'une des plus énigmatiques et aussi des plus attachantes oeuvres du compositeur Finlandais. Traversant une période d'épreuves et de doutes sur sa propre capacité à écrire de la musique, il semblerait que Jean Sibelius ait choisi de partager avec l'auditeur ses doutes et ses angoisses plutôt que de chercher à les dissimuler dans une oeuvre trop lisse.

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